Paris - October 30, 2021
Demonstration against the October 25 military coup in Sudan. The perpetrator, General Abdel Fattah Al-Bourhane, dissolved the institutions and arrested most of the civilian leaders. The opposition mobilized in Sudan and abroad. Place de la République, in Paris, Sudanese have called for a demonstration to denounce the bloody repression. They also demand the release of political prisoners. "No turning back," chant the protesters. Sudan had indeed embarked on a transition to democracy. The country was ruled by a Sovereignty Council where both civilians and soldiers sat since the dismissal in April 2019 of dictator Omar al-Bashir.
2021-10-30. Paris. Quelques jours après le coup d’état militaire du 25 octobre au Soudan, à la suite duquel le général Abdel Fattah Al-Bourhane a dissous les institutions soudanaises et arrêté la plupart des dirigeants civils, l’opposition s’est mobilisée au Soudan, mais aussi à l’étranger, comme ici, à Paris, place de la République, ou des Soudanais avaient appelé à un rassemblement pour dénoncer le coup d’état et la répression sanglante qui s’est abattue sur le pays, et exiger la libération des prisonniers politiques. “Pas de retour en arrière”, demandent les manifestants, car le Soudan était engagé dans une transition vers la démocratie, et dirigé par un Conseil de Souveraineté où siégaient à la fois des civils et des militaires depuis la destitution en avril 2019 du dictateur Omar al-Bachir.Photo: Frédérique Le Brun
2021-10-30. Paris. Quelques jours après le coup d’état militaire du 25 octobre au Soudan, à la suite duquel le général Abdel Fattah Al-Bourhane a dissous les institutions soudanaises et arrêté la plupart des dirigeants civils, l’opposition s’est mobilisée au Soudan, mais aussi à l’étranger, comme ici, à Paris, place de la République, ou des Soudanais avaient appelé à un rassemblement pour dénoncer le coup d’état et la répression sanglante qui s’est abattue sur le pays, et exiger la libération des prisonniers politiques. “Pas de retour en arrière”, demandent les manifestants, car le Soudan était engagé dans une transition vers la démocratie, et dirigé par un Conseil de Souveraineté où siégaient à la fois des civils et des militaires depuis la destitution en avril 2019 du dictateur Omar al-Bachir.Photo: Frédérique Le Brun
2021-10-30. Paris. Quelques jours après le coup d’état militaire du 25 octobre au Soudan, à la suite duquel le général Abdel Fattah Al-Bourhane a dissous les institutions soudanaises et arrêté la plupart des dirigeants civils, l’opposition s’est mobilisée au Soudan, mais aussi à l’étranger, comme ici, à Paris, place de la République, ou des Soudanais avaient appelé à un rassemblement pour dénoncer le coup d’état et la répression sanglante qui s’est abattue sur le pays, et exiger la libération des prisonniers politiques. “Pas de retour en arrière”, demandent les manifestants, car le Soudan était engagé dans une transition vers la démocratie, et dirigé par un Conseil de Souveraineté où siégaient à la fois des civils et des militaires depuis la destitution en avril 2019 du dictateur Omar al-Bachir.
Photo: Frédérique Le Brun
2021-10-30. Paris. Quelques jours après le coup d’état militaire du 25 octobre au Soudan, à la suite duquel le général Abdel Fattah Al-Bourhane a dissous les institutions soudanaises et arrêté la plupart des dirigeants civils, l’opposition s’est mobilisée au Soudan, mais aussi à l’étranger, comme ici, à Paris, place de la République, ou des Soudanais avaient appelé à un rassemblement pour dénoncer le coup d’état et la répression sanglante qui s’est abattue sur le pays, et exiger la libération des prisonniers politiques. “Pas de retour en arrière”, demandent les manifestants, car le Soudan était engagé dans une transition vers la démocratie, et dirigé par un Conseil de Souveraineté où siégaient à la fois des civils et des militaires depuis la destitution en avril 2019 du dictateur Omar al-Bachir.Photo: Frédérique Le Brun
2021-10-30. Paris. Quelques jours après le coup d’état militaire du 25 octobre au Soudan, à la suite duquel le général Abdel Fattah Al-Bourhane a dissous les institutions soudanaises et arrêté la plupart des dirigeants civils, l’opposition s’est mobilisée au Soudan, mais aussi à l’étranger, comme ici, à Paris, place de la République, ou des Soudanais avaient appelé à un rassemblement pour dénoncer le coup d’état et la répression sanglante qui s’est abattue sur le pays, et exiger la libération des prisonniers politiques. “Pas de retour en arrière”, demandent les manifestants, car le Soudan était engagé dans une transition vers la démocratie, et dirigé par un Conseil de Souveraineté où siégaient à la fois des civils et des militaires depuis la destitution en avril 2019 du dictateur Omar al-Bachir.Photo: Frédérique Le Brun
2021-10-30. Paris. Quelques jours après le coup d’état militaire du 25 octobre au Soudan, à la suite duquel le général Abdel Fattah Al-Bourhane a dissous les institutions soudanaises et arrêté la plupart des dirigeants civils, l’opposition s’est mobilisée au Soudan, mais aussi à l’étranger, comme ici, à Paris, place de la République, ou des Soudanais avaient appelé à un rassemblement pour dénoncer le coup d’état et la répression sanglante qui s’est abattue sur le pays, et exiger la libération des prisonniers politiques. “Pas de retour en arrière”, demandent les manifestants, car le Soudan était engagé dans une transition vers la démocratie, et dirigé par un Conseil de Souveraineté où siégaient à la fois des civils et des militaires depuis la destitution en avril 2019 du dictateur Omar al-Bachir.
Photo: Frédérique Le Brun
2021-10-30. Paris. Quelques jours après le coup d’état militaire du 25 octobre au Soudan, à la suite duquel le général Abdel Fattah Al-Bourhane a dissous les institutions soudanaises et arrêté la plupart des dirigeants civils, l’opposition s’est mobilisée au Soudan, mais aussi à l’étranger, comme ici, à Paris, place de la République, ou des Soudanais avaient appelé à un rassemblement pour dénoncer le coup d’état et la répression sanglante qui s’est abattue sur le pays, et exiger la libération des prisonniers politiques. “Pas de retour en arrière”, demandent les manifestants, car le Soudan était engagé dans une transition vers la démocratie, et dirigé par un Conseil de Souveraineté où siégaient à la fois des civils et des militaires depuis la destitution en avril 2019 du dictateur Omar al-Bachir.
Photo: Frédérique Le Brun
2021-10-30. Paris. Quelques jours après le coup d’état militaire du 25 octobre au Soudan, à la suite duquel le général Abdel Fattah Al-Bourhane a dissous les institutions soudanaises et arrêté la plupart des dirigeants civils, l’opposition s’est mobilisée au Soudan, mais aussi à l’étranger, comme ici, à Paris, place de la République, ou des Soudanais avaient appelé à un rassemblement pour dénoncer le coup d’état et la répression sanglante qui s’est abattue sur le pays, et exiger la libération des prisonniers politiques. “Pas de retour en arrière”, demandent les manifestants, car le Soudan était engagé dans une transition vers la démocratie, et dirigé par un Conseil de Souveraineté où siégaient à la fois des civils et des militaires depuis la destitution en avril 2019 du dictateur Omar al-Bachir.
Photo: Frédérique Le Brun
2021-10-30. Paris. Quelques jours après le coup d’état militaire du 25 octobre au Soudan, à la suite duquel le général Abdel Fattah Al-Bourhane a dissous les institutions soudanaises et arrêté la plupart des dirigeants civils, l’opposition s’est mobilisée au Soudan, mais aussi à l’étranger, comme ici, à Paris, place de la République, ou des Soudanais avaient appelé à un rassemblement pour dénoncer le coup d’état et la répression sanglante qui s’est abattue sur le pays, et exiger la libération des prisonniers politiques. “Pas de retour en arrière”, demandent les manifestants, car le Soudan était engagé dans une transition vers la démocratie, et dirigé par un Conseil de Souveraineté où siégaient à la fois des civils et des militaires depuis la destitution en avril 2019 du dictateur Omar al-Bachir.
Photo: Frédérique Le Brun
2021-10-30. Paris. Quelques jours après le coup d’état militaire du 25 octobre au Soudan, à la suite duquel le général Abdel Fattah Al-Bourhane a dissous les institutions soudanaises et arrêté la plupart des dirigeants civils, l’opposition s’est mobilisée au Soudan, mais aussi à l’étranger, comme ici, à Paris, place de la République, ou des Soudanais avaient appelé à un rassemblement pour dénoncer le coup d’état et la répression sanglante qui s’est abattue sur le pays, et exiger la libération des prisonniers politiques. “Pas de retour en arrière”, demandent les manifestants, car le Soudan était engagé dans une transition vers la démocratie, et dirigé par un Conseil de Souveraineté où siégaient à la fois des civils et des militaires depuis la destitution en avril 2019 du dictateur Omar al-Bachir.
Photo: Frédérique Le Brun