3 avril 2016, bois de Boulogne, Paris. Treize jours après le nouvel an iranien et kurde, se déroule le “Sizdah be dar”, littéralement “treisième jour dehors”, qui veut, selon la tradition iranienne et kurde, que les gens aillent pique-niquer dans la nature. Cette année, de nombreux Iraniens se sont retrouvés sur la pelouse de Madrid, au bois de Boulogne, pour célébrer cette tradition. Plats iraniens et samovars étaient de sortie sur les nappes étalées sur la pelouse, ainsi que les traditionnelles mottes de “sabze”, des plantes germées que les Iraniens font pousser comme symbole de fertilité à l’occasion du Nouvel an, qui tombe le jour de l’équinoxe de printemps, et qu’ils jettent dans des cours d’eau à la fin de sizdah bedar.
3 avril 2016, bois de Boulogne, Paris. Treize jours après le nouvel an iranien et kurde,, se déroule le “Sizdah be dar”, littéralement “treisième jour dehors”, qui veut, selon la tradition iranienne et kurde, que les gens aillent pique-niquer dans la nature. Cette année, de nombreux Iraniens se sont retrouvés sur la pelouse de Madrid, au bois de Boulogne, pour célébrer cette tradition. Plats iraniens et samovars étaient de sortie sur les nappes étalées sur la pelouse, ainsi que les traditionnelles mottes de “sabze”, des plantes germées que les Iraniens font pousser comme symbole de fertilité à l’occasion du Nouvel an, qui tombe le jour de l’équinoxe de printemps, et qu’ils jettent dans des cours d’eau à la fin de sizdah bedar. Photos: Frédérique Le Brun
3 avril 2016, bois de Boulogne, Paris. Treize jours après le nouvel an iranien et kurde,, se déroule le “Sizdah be dar”, littéralement “treisième jour dehors”, qui veut, selon la tradition iranienne et kurde, que les gens aillent pique-niquer dans la nature. Cette année, de nombreux Iraniens se sont retrouvés sur la pelouse de Madrid, au bois de Boulogne, pour célébrer cette tradition. Plats iraniens et samovars étaient de sortie sur les nappes étalées sur la pelouse, ainsi que les traditionnelles mottes de “sabze”, des plantes germées que les Iraniens font pousser comme symbole de fertilité à l’occasion du Nouvel an, qui tombe le jour de l’équinoxe de printemps, et qu’ils jettent dans des cours d’eau à la fin de sizdah bedar. Photos: Frédérique Le Brun
3 avril 2016, bois de Boulogne, Paris. Treize jours après le nouvel an iranien et kurde,, se déroule le “Sizdah be dar”, littéralement “treisième jour dehors”, qui veut, selon la tradition iranienne et kurde, que les gens aillent pique-niquer dans la nature. Cette année, de nombreux Iraniens se sont retrouvés sur la pelouse de Madrid, au bois de Boulogne, pour célébrer cette tradition. Plats iraniens et samovars étaient de sortie sur les nappes étalées sur la pelouse, ainsi que les traditionnelles mottes de “sabze”, des plantes germées que les Iraniens font pousser comme symbole de fertilité à l’occasion du Nouvel an, qui tombe le jour de l’équinoxe de printemps, et qu’ils jettent dans des cours d’eau à la fin de sizdah bedar. Photos: Frédérique Le Brun
3 avril 2016, bois de Boulogne, Paris. Treize jours après le nouvel an iranien et kurde,, se déroule le “Sizdah be dar”, littéralement “treisième jour dehors”, qui veut, selon la tradition iranienne et kurde, que les gens aillent pique-niquer dans la nature. Cette année, de nombreux Iraniens se sont retrouvés sur la pelouse de Madrid, au bois de Boulogne, pour célébrer cette tradition. Plats iraniens et samovars étaient de sortie sur les nappes étalées sur la pelouse, ainsi que les traditionnelles mottes de “sabze”, des plantes germées que les Iraniens font pousser comme symbole de fertilité à l’occasion du Nouvel an, qui tombe le jour de l’équinoxe de printemps, et qu’ils jettent dans des cours d’eau à la fin de sizdah bedar. Photos: Frédérique Le Brun
3 avril 2016, bois de Boulogne, Paris. Treize jours après le nouvel an iranien et kurde,, se déroule le “Sizdah be dar”, littéralement “treisième jour dehors”, qui veut, selon la tradition iranienne et kurde, que les gens aillent pique-niquer dans la nature. Cette année, de nombreux Iraniens se sont retrouvés sur la pelouse de Madrid, au bois de Boulogne, pour célébrer cette tradition. Plats iraniens et samovars étaient de sortie sur les nappes étalées sur la pelouse, ainsi que les traditionnelles mottes de “sabze”, des plantes germées que les Iraniens font pousser comme symbole de fertilité à l’occasion du Nouvel an, qui tombe le jour de l’équinoxe de printemps, et qu’ils jettent dans des cours d’eau à la fin de sizdah bedar. Photos: Frédérique Le Brun
3 avril 2016, bois de Boulogne, Paris. Treize jours après le nouvel an iranien et kurde,, se déroule le “Sizdah be dar”, littéralement “treisième jour dehors”, qui veut, selon la tradition iranienne et kurde, que les gens aillent pique-niquer dans la nature. Cette année, de nombreux Iraniens se sont retrouvés sur la pelouse de Madrid, au bois de Boulogne, pour célébrer cette tradition. Plats iraniens et samovars étaient de sortie sur les nappes étalées sur la pelouse, ainsi que les traditionnelles mottes de “sabze”, des plantes germées que les Iraniens font pousser comme symbole de fertilité à l’occasion du Nouvel an, qui tombe le jour de l’équinoxe de printemps, et qu’ils jettent dans des cours d’eau à la fin de sizdah bedar. Photos: Frédérique Le Brun
3 avril 2016, bois de Boulogne, Paris. Treize jours après le nouvel an iranien et kurde,, se déroule le “Sizdah be dar”, littéralement “treisième jour dehors”, qui veut, selon la tradition iranienne et kurde, que les gens aillent pique-niquer dans la nature. Cette année, de nombreux Iraniens se sont retrouvés sur la pelouse de Madrid, au bois de Boulogne, pour célébrer cette tradition. Plats iraniens et samovars étaient de sortie sur les nappes étalées sur la pelouse, ainsi que les traditionnelles mottes de “sabze”, des plantes germées que les Iraniens font pousser comme symbole de fertilité à l’occasion du Nouvel an, qui tombe le jour de l’équinoxe de printemps, et qu’ils jettent dans des cours d’eau à la fin de sizdah bedar. Photos: Frédérique Le Brun
3 avril 2016, bois de Boulogne, Paris. Treize jours après le nouvel an iranien et kurde,, se déroule le “Sizdah be dar”, littéralement “treisième jour dehors”, qui veut, selon la tradition iranienne et kurde, que les gens aillent pique-niquer dans la nature. Cette année, de nombreux Iraniens se sont retrouvés sur la pelouse de Madrid, au bois de Boulogne, pour célébrer cette tradition. Plats iraniens et samovars étaient de sortie sur les nappes étalées sur la pelouse, ainsi que les traditionnelles mottes de “sabze”, des plantes germées que les Iraniens font pousser comme symbole de fertilité à l’occasion du Nouvel an, qui tombe le jour de l’équinoxe de printemps, et qu’ils jettent dans des cours d’eau à la fin de sizdah bedar. Photos: Frédérique Le Brun
3 avril 2016, bois de Boulogne, Paris. Treize jours après le nouvel an iranien et kurde,, se déroule le “Sizdah be dar”, littéralement “treisième jour dehors”, qui veut, selon la tradition iranienne et kurde, que les gens aillent pique-niquer dans la nature. Cette année, de nombreux Iraniens se sont retrouvés sur la pelouse de Madrid, au bois de Boulogne, pour célébrer cette tradition. Plats iraniens et samovars étaient de sortie sur les nappes étalées sur la pelouse, ainsi que les traditionnelles mottes de “sabze”, des plantes germées que les Iraniens font pousser comme symbole de fertilité à l’occasion du Nouvel an, qui tombe le jour de l’équinoxe de printemps, et qu’ils jettent dans des cours d’eau à la fin de sizdah bedar. Photos: Frédérique Le Brun
3 avril 2016, bois de Boulogne, Paris. Treize jours après le nouvel an iranien et kurde,, se déroule le “Sizdah be dar”, littéralement “treisième jour dehors”, qui veut, selon la tradition iranienne et kurde, que les gens aillent pique-niquer dans la nature. Cette année, de nombreux Iraniens se sont retrouvés sur la pelouse de Madrid, au bois de Boulogne, pour célébrer cette tradition. Plats iraniens et samovars étaient de sortie sur les nappes étalées sur la pelouse, ainsi que les traditionnelles mottes de “sabze”, des plantes germées que les Iraniens font pousser comme symbole de fertilité à l’occasion du Nouvel an, qui tombe le jour de l’équinoxe de printemps, et qu’ils jettent dans des cours d’eau à la fin de sizdah bedar. Photos: Frédérique Le Brun
3 avril 2016, bois de Boulogne, Paris. Treize jours après le nouvel an iranien et kurde,, se déroule le “Sizdah be dar”, littéralement “treisième jour dehors”, qui veut, selon la tradition iranienne et kurde, que les gens aillent pique-niquer dans la nature. Cette année, de nombreux Iraniens se sont retrouvés sur la pelouse de Madrid, au bois de Boulogne, pour célébrer cette tradition. Plats iraniens et samovars étaient de sortie sur les nappes étalées sur la pelouse, ainsi que les traditionnelles mottes de “sabze”, des plantes germées que les Iraniens font pousser comme symbole de fertilité à l’occasion du Nouvel an, qui tombe le jour de l’équinoxe de printemps, et qu’ils jettent dans des cours d’eau à la fin de sizdah bedar. Photos: Frédérique Le Brun
3 avril 2016, bois de Boulogne, Paris. Treize jours après le nouvel an iranien et kurde,, se déroule le “Sizdah be dar”, littéralement “treisième jour dehors”, qui veut, selon la tradition iranienne et kurde, que les gens aillent pique-niquer dans la nature. Cette année, de nombreux Iraniens se sont retrouvés sur la pelouse de Madrid, au bois de Boulogne, pour célébrer cette tradition. Plats iraniens et samovars étaient de sortie sur les nappes étalées sur la pelouse, ainsi que les traditionnelles mottes de “sabze”, des plantes germées que les Iraniens font pousser comme symbole de fertilité à l’occasion du Nouvel an, qui tombe le jour de l’équinoxe de printemps, et qu’ils jettent dans des cours d’eau à la fin de sizdah bedar. Photos: Frédérique Le Brun
3 avril 2016, bois de Boulogne, Paris. Treize jours après le nouvel an iranien et kurde,, se déroule le “Sizdah be dar”, littéralement “treisième jour dehors”, qui veut, selon la tradition iranienne et kurde, que les gens aillent pique-niquer dans la nature. Cette année, de nombreux Iraniens se sont retrouvés sur la pelouse de Madrid, au bois de Boulogne, pour célébrer cette tradition. Plats iraniens et samovars étaient de sortie sur les nappes étalées sur la pelouse, ainsi que les traditionnelles mottes de “sabze”, des plantes germées que les Iraniens font pousser comme symbole de fertilité à l’occasion du Nouvel an, qui tombe le jour de l’équinoxe de printemps, et qu’ils jettent dans des cours d’eau à la fin de sizdah bedar. Photos: Frédérique Le Brun